
En Italie, le public de Berlusconi s'esclaffe et applaudit quand son idole a de nouveau parlé du bronzage des Obama.
Des plaisanteries bien sûr, mais d'un goût fort douteux.
Le militant UMP apprendra par la suite que le ministre l'a pris pour un Auvergnat bien blanc, et il croira son ministre. Le public de Berlusconi, quant à lui, attendra avec impatience les prochains clowneries minables et succès virils de son dirigeant.